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6 avril 2020 1 06 /04 /avril /2020 13:20
FILM "LA PASSION DE CHRIST" DE MEL GIBSON

Chers amis,


Il y a quelques temps, nous vous annoncions notre projet de ressortir au cinéma La Passion du Christ de Mel Gibson pour Pâques. Au vu des circonstances actuelles, ce ne sera bien évidemment pas possible. Mais nous avons imaginé une solution pour permettre à chacun de voir le film, tout en restant chez soi, grâce au E-CINÉMA


Cela peut être l'occasion de vivre un temps fort spirituel pendant la semaine Sainte, alors que nous sommes tous confinés chez nous sans possibilité de se rendre dans nos églises pour célébrer Pâques cette année.

 

Grâce à une plateforme dédiée à découvrir :

 

Cliquer sur le lien  :   E-cinéma | La 25ème Heure

 

Nous avons programmé plusieurs séances du film LA PASSION DU CHRIST en E-Cinéma entre le dimanche des Rameaux (dimanche prochain 5 avril) et le dimanche de Pâques (12 avril).


Chaque séance sera suivie par une intervention, le plus souvent en live, d'un invité.


Voici la liste des séances programmées à ce jour avec le nom des intervenants :

 

Dimanche des Rameaux 5 avril à 15 h (avec l'abbé Grosjean du Padreblog)
Dimanche des Rameaux 5 avril à 20 h (avec l'abbé Grosjean du Padreblog)
Mercredi 8 avril à 20 h (avec Abel Jafri, seul comédien français dans La Passion du Christ - il interprète le chef des gardiens du Temple)
Jeudi 9 avril à 20 h (avec Bruno Picard, auteur de Un Miracle Chaque Jour)
Vendredi Saint 10 avril à 15 h (avec l'abbé Amar du Padreblog)
Vendredi Saint 10 avril à 20 h (avec l'abbé Amar du Padreblog)
Samedi 11 avril à 15 h (avec Cospiel, prédicateur sur Cospiel TV)

 

Chaque foyer peut réserver en ligne la séance de son choix (un seul billet au tarif unique de 8 € pour tout le foyer) en cliquant sur le lien suivant :

 

Cliquer sur le lien : https://www.billetweb.fr/pro/lapassionduchrist?mc_cid=1

 

Je rappelle que le film est interdit aux moins de 12 ans.

 


Je vous souhaite une belle montée vers Pâques. A très bientôt en E-Cinéma !


Hubert de Torcy

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28 mars 2020 6 28 /03 /mars /2020 09:29

 

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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 11:30

Le Père Thierry Magnin, Secrétaire général de la Conférence des évêques de France, nous parle de l'Annonciation que nous allons vivre malgré le confinement instauré en mars 2020 à cause de l'épidémie de COVID-19.

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24 mars 2020 2 24 /03 /mars /2020 14:17

 

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27 décembre 2019 5 27 /12 /décembre /2019 13:36

La Croix - Croire

 

 

Sophie de Villeneuve,
rédactrice en chef de Croire

 

 

Remercier, quelle aventure !

 

On peut dire merci machinalement, parce qu'on est bien élevé et que ce petit mot nous berce dès l'enfance. On peut dire merci aussi du fond du cœur, en éprouvant alors une immense reconnaissance pour un don imprévu, précieux et immérité. Ce sentiment de gratitude inonde alors tout notre être. Il rejoint ce que la foi appelle depuis toujours " l'action de grâce ", cet élan vers Dieu qui nous fait le remercier, au-delà des épreuves. Le remercier de la lumière du jour et du fil des saisons, de la vie donnée, des moments de joie, même furtifs. L'apôtre Paul invite à " rendre grâce à Dieu en toutes choses. " Remercier Dieu. Voilà le sens du mot grec " eucharistie ", ce partage du pain et du vin qui fait entrer dans la vie même de Dieu, dans ce " merci " de Jésus à son Père. Dans son homélie de la nuit de Noël, le pape François n'a pas manqué d'insister sur cette " profonde gratitude " qui devrait nous habiter devant " l'amour fou de Jésus, un amour toute douceur et proximité ". Remercier, c'est aussi donner de soi, de sa vie, c'est à son tour répandre les dons reçus. Bref, dire merci, c'est toute une aventure.

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26 décembre 2019 4 26 /12 /décembre /2019 14:59

 

Message  à l'occasion du décès des militaires au Mali

          Nous sommes très touchés par le décès survenu, lors d'une opération militaire au Mali, de deux jeunes militaires du Lot et Garonne: l'adjudant-chef Julien Carette et le capitaine Clément Frison-Roche. J'adresse aux membres de leurs familles un message de soutien. Qu'ils soient assurés de ma prière et de mon aide fraternelle.

         Je sais que les Layracais et les Villeneuvois sont dans la peine, et je m'associe à eux dans cette épreuve.

        Que l'espérance reste présente au cœur de nos vies! Que l'Esprit nous apporte la paix et la confiance!

                                                                + Hubert Herbreteau, évêque d'Agen

 

« Pour que vive France »,
le touchant poème
du capitaine Clément Frison-Roche

 

 

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15 novembre 2019 5 15 /11 /novembre /2019 09:45

 

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23 octobre 2019 3 23 /10 /octobre /2019 13:53

     Pilotée par le Réseau Aquitain pour le Développement (radsi) de la Solidarité Internationale depuis 10 ans, elle se déploie dans 600 communes et une dizaine de pays. L’objectif est d’amener les citoyens à se former et comprendre les enjeux agricoles et alimentaires afin de participer à la construction de système durable et solidaire par leur choix de consommation et pour certains de production.

Le CCFD Terre Solidaire s’inscrit naturellement dans cette campagne puisque sa mission prioritaire est de lutter contre les causes de la faim. Il fait le lien entre ce qui se passe « ici », en Europe, en France et « là-bas « notamment en Amérique du sud. L’accaparement de terres agricoles par l’agro-industrie pour cultiver des oléagineux pour nourrir nos élevages ici, en est un exemple de destruction de l’agriculture paysanne là-bas.

 

       Des films, des animations dans les lycées agricoles, des visites de ferme sont proposés. Le CCFD terre solidaire du 47 organise, quant à lui : un ciné débat  au cinéma Confluent d’Aiguillon le jeudi 7 novembre à 20h30 et au cinéma l’odyssée à Casteljaloux le mercredi 20 novembre à 20h30.

 

      Chaque consommateur peut se poser la question : qu’est-ce que je mange ? D’où viennent ses produits ? dans quelles conditions sont-ils produits ? Qu’il y a-t-il dans ses produits ? Quel budget je veux y mettre ?

Chaque citoyen peut ainsi avoir un impact ,par son acte d’achat ou non achat ,sur le choix de politiques agricoles et commerciales à mettre en œuvre pour que les agriculteurs de France et du monde puissent vivre dignement de leur travail dans le respect des autres et de la planète.IL peut contribuer ainsi à ce que les personnes affamés ou mal nourris (850 millions) ne soient pas «  alimentés » mais puissent avoir accès aux ressources pour « se nourrir » et participer ainsi à leur propre développement.

 

Emmanuelle Guibert

ccfd47@ccfd-terresolidaire.org

fb ccfd-terre solidaire lot et Garonne

 

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25 juin 2019 2 25 /06 /juin /2019 14:03

 

RÉFLEXIONS AUTOUR DE LA LETTRE DU PAPE

"LETTRE AU PEUPLE DE DIEU"

   transmise le 20 août 2018.

Paroisse Sainte Croix des Confluents

                                      

Chaque "affaire" politique ou religieuse ébranle les consciences : réparons-nous aussi l'Église

         

         

Dix huit personnes étaient présentes dont notre curé le père Jean-Pierre Teudjou et notre diacre, Guillaume de Sevin et deux personnes venues de Tonneins où ce débat n'a pu avoir lieu et où les paroissiens se sont exprimés sous une autre forme.

Cette réunion proposée par l'équipe d’animation pastorale (E.A.P.) et organisée par l'équipe Communication de la paroisse, a été voulue pour provoquer une réaction solidaire, communautaire et globale à la suite de la lettre du Pape François au Peuple de Dieu : " Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui" (1 Cor 12, 26).

A la demande de Yannick Masson et J.L. Trézéguet, modérateurs, il a été consacré un temps de relecture de cette lettre, puis un tour de table où chacun a pu exprimer son émotion et faire un constat individuel avant le débat lui-même.

Le père Teudjou s'est exprimé en premier : "Que faire pour que l'Église panse ses plaies, déclare-t-il ? Il faut se poser les bonnes questions ; comment je réagis en tant que citoyen, en tant que chrétien ? Si le Christ était à ma place, qu'aurait-il fait ? Même si ceci s'est passé depuis des générations, il ne faut pas condamner exclusivement l'Église sur ce sujet". Les participants reconnaissent que ce problème et l'omerta existent aussi dans d'autres secteurs de la société notamment dans l'Éducation Nationale ou l'Armée.

L'émotion exprimée par les participants a été forte et unanime : "Face aux faits révélés, nous sommes abasourdis, atterrés, meurtris, très choqués, très en colère, nous avons un sentiment de honte, une grande tristesse, c'est un vrai tsunami, il est trop tard ! "Nous nous sentons très petits et très impuissants devant un phénomène d'une telle ampleur et d'une telle gravité dont on ne pouvait soupçonner l'étendue ". "Nous avons des pensées émues pour les victimes, dont, comme le dit le Pape François "la douleur a trop longtemps été ignorée, silencieuse ou passée sous silence". Nous avons dit qu'il fallait être conscient de l'état de grand danger (danger de mort) dans lequel se trouve l'Église aujourd'hui". Il faut parler de crimes commis et non seulement de "délits" (comme on peut le lire dans la lettre du pape). Notre Évêque Mgr Herbreteau n'hésite pas, à juste titre, à parler de crimes ! Mais il a été dit qu'en l'occurrence les criminels sont aussi des "malades".

 

Pourquoi ce silence et si longtemps ? Comment cette omerta a-t-elle pu s’organiser ?

 

             On a parlé de la toute puissance du prêtre qui date de très longtemps, du cléricalisme qui en a découlé et qui est une forme d'abus de pouvoir ; il y a eu une propension à étouffer tout ce qui pouvait porter atteinte à l'aura du prêtre et à la confiance placée en lui par les laïcs (enfants ou adultes).

La dimension, la gravité des actes, leur conséquence, leur impact sur les victimes n'ont très certainement pas été, non plus, estimés à leur juste valeur.

Le Pape François fait le "mea culpa" de l'Église lorsqu'il parle dans sa "lettre au peuple de Dieu" d'aveuglement confortable et auto-suffisant où tout finit par sembler licite".

 

En tant que simple chrétien(ne) et laïc (que) que puis-je faire ? Que peut-on faire pour identifier, prévenir, soigner ?

 

            Est-ce notre problème en tant que laïc ? Il s'agit en l'occurrence d'un problème interne aux clercs de l'Église. N'est-ce pas de la responsabilité exclusive du Pape de le régler ? Moi, pauvre laïque, qu'ai-je à voir dans cette affaire ?

Dénoncer immédiatement la connaissance d'une déviance quelconque, d'un comportement anormal, être vigilant est, nous pensons, nécessaire et un devoir. Le Pape François pose la question reprenant l'appel de Saint Paul à souffrir avec celui qui souffre : "Est-ce que je suis, moi, le gardien de mon frère ?". La réponse est oui, sans hésitation.

Il faut prier. Guillaume nous a rappelé qu'il fallait prier, en particulier, pour les prêtres qui n'ont pas failli. Ceux qui, par exemple, habillés en clergyman qui se déplacent dans le métro à Paris, vivent des moments difficiles. Beaucoup de médias s'en donnent à cœur joie pour dénigrer un peu plus l'Église. Quelle occasion !

Aider, par des soins, toute personne aux tendances pédophiles que l'on détecte dans l'Église. Quel accompagnement aujourd'hui est-il fait pour ces prêtres déviants hormis leur mutation à la suite de faits avérés ?

Le constat fait aujourd'hui au sujet de l'ignorance de l'état dans lequel se sont retrouvées les victimes est accablant. Désormais il faut accepter de les écouter, prendre leurs cas en considération et faire l'objet un suivi psychologique.

Dans sa lettre, le Pape parle de la pratique du "jeûne" qui donne faim et soif de justice, qui nous secoue et nous pousse à marcher et à nous engager dans la vérité et la charité envers la société, afin de lutter contre tout type d'abus sexuel, d'abus de pouvoir et de conscience."

Enfin, il faut faire pénitence selon le vœu là aussi du pape. "Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui"..."Alors Dieu souffrant s'est tourné vers son Père".

Avec prière et pénitence, "nous ferons grandir en nous le don de la compassion, de la justice, de la prévention et de la réparation". Et la confession est un gage de purification.

Le pape François veut que l'on soit dans la vérité : "la vérité vous rendra libre". L'Église est un corps qui forme un tout. On peut retenir dans ce texte l'appel à la conversion de chacun.

 

Vers qui se tourner quand on est dans une situation difficile ?

 

            Y a-t-il une cellule d’écoute ? Oui, c'est en principe à notre Évêque, Hubert Herbreteau qu'il faut s'adresser directement, d'autant plus que chacun doit savoir qu'il a été nommé responsable de la commission de prévention des abus sexuels lors de la Conférence des évêques de France en novembre 2018.

Mais peut-être serait-il souhaitable de songer à la création d'une cellule d'écoute des victimes, dans chaque diocèse, si cela n'est pas déjà fait, qui soit clairement identifiée et connue de tous les publics, et pas nécessairement constituée de clercs ?   

 

Quelles réformes sont souhaitables pour remettre le fonctionnement de l'Église sur de bons rails ?

            Plusieurs sujets ont alors été évoqués : la tolérance zéro demandée par le pape qui est devenue une évidence, la transparence de l'Église en général, rendre compte sur cette question mais aussi sur d'autres.

La prévention par une approche de la sexualité plus appropriée lors de la formation des prêtres au séminaire ? Cette question est-elle suffisamment abordée, ainsi que celle de la relation aux femmes ?

Le père Teudjou déclare que les prêtres savent que c'est le célibat qui les attend en entrant au séminaire. Guillaume prend l'exemple de l'Église orientale maronite où les prêtres sont mariés. Il fait référence à la lettre de Jean-Paul II sur le célibat (don total de sa vie au milieu de sa communauté).

 

Pourquoi y a-t-il de moins en moins de prêtres ? La solitude est pesante. L'Église semble vouloir évoluer vers la vie des prêtres en communauté pour se soutenir mutuellement, éviter les doubles vies, les problèmes d'alcoolisme, la dépression. Chacun peut chuter et se relever.

Pour ce qui est du cléricalisme, on a évoqué la possibilité de commissions de contrôle pour éviter les abus de pouvoir et de conscience, de trouver des régulations, des référents (tierces personnes) qui pourraient se positionner en médiateurs, conciliateurs ?

 

Quelle place pour les femmes dans l’Église ?

 

            Il ressort du débat que la femme n'est pas assez reconnue dans l'Église d'aujourd'hui. Les femmes se trouvent le plus souvent cantonnées dans des rôles subalternes ou purement matériels dans lesquels la hiérarchie de l'Église se plait à les maintenir. Est-ce par crainte ?

Par désinvolture ? Par tradition ? Par routine ? Un peu tout à la fois sans doute ?

Or plus de pouvoir donné aux femmes ne serait-il pas enrichissant pour l’Église ?

Il faut associer les femmes à la gouvernance de l'Église.

 

Quelle place et quelle meilleure collaboration entre laïcs et clercs sur ces sujets ?

 

            Il faut aider les prêtres et les laïcs à sortir du cléricalisme et préciser la place de chacun. Il faut avoir le courage d'aborder les sujets qui fâchent, dire ce que l'on ressent, comment on voit les choses, essayer de faire des propositions censées au travers de rencontres programmées. On parle beaucoup des clercs en ce moment, mais que dire du divorce des laïcs en constante croissance ; quelle place sommes-nous prêts à faire pour les divorcés-remariés ?

Il faut améliorer la communication transversale entre les rouages et commissions diverses d'une paroisse. Sinon, chacun ignore tout de ce que fait l'autre et cela est un frein au développement de cette paroisse et peut créer des tensions avec le curé responsable. Les paroissiens ne savent pas ce qui se fait et se sentent mis de côté. Ne pourrait-on désigner un paroissien chargé de faire la liaison entre les divers groupes de travail ?

A une échelle plus haute, le cardinal Marx, archevêque de Munich, déclare dans "La Croix" le jeudi 28 mars 2019 : "Il me paraît évident que l'on ne peut plus réunir un Synode des évêques sans y inviter aussi des laïcs, femmes et hommes. C'est urgent".                                                                                            

 

EN CONCLUSION

 

            Deux heures de débats riches, denses, profonds et ... sereins. Les participants ont été à l'écoute les uns des autres, sans s'interrompre mutuellement, en permanence, comme souvent dans ce type de rencontre. Cela a contribué à la clarté du débat et, manifestement, les participants ont été heureux de pouvoir s'exprimer sur ce sujet grave et douloureux en analysant cette " lettre au peuple de Dieu" et en donnant leurs sentiments personnels.

Le temps limité et l'ampleur des sujets abordés n'ont pas permis d'approfondir certaines propositions. Il est important de regarder les choses en face, avec courage et détermination, de ne pas minimiser les faits, quels qu'il soient, pour prendre, enfin, conscience de la gravité des actes et les mesures appropriées pour que l'Église tire les leçons d'une épreuve où elle a vécu le mal, pour aller vers un renouveau purificateur.

L'équipe Communication de notre paroisse et son curé ont considéré que, être frileux, avoir des craintes et ne pas vouloir aborder le sujet ni contribuer à apporter sa pierre, en vue de la reconstruction de l'édifice qu'est l'Église, aurait été un refus de participer à l'éradication du cancer qui la ronge actuellement.

Sans tomber dans la "réunionnite", l'équipe Communication de la paroisse pense que ce type de rencontre-débat est à renouveler, notamment sur des sujets pouvant toucher aux réformes, d’actualité ou pas, dont l'Église pourrait avoir besoin et sur lesquelles les paroissiens ont envie d'exprimer leurs idées.

 

            Enfin il y a des raisons d'espérer. Confiance tel est le maître-mot. La présence de nombreux participants et leur investissement dans la réflexion témoigne de la réactivité, du "vouloir faire face" de nos paroissiens. Oui, il y a une chance de rebâtir l'Église. Non, il n'est pas trop tard, il n'est jamais trop tard, rien n'est encore perdu. Nous sommes dans une barque secouée par un vent de grande force. Il faut tenir et faire confiance, sans réserve, au Christ. L'Église a connu bien des vicissitudes au cours de son existence. Elle a tenu. Mais il faut être vigilant, tirer la sonnette d'alarme quand il est temps encore et prendre les bonnes décisions.

En définitive, et pour laisser le dernier mot à notre curé, le père Jean-Pierre Teudjou "il ne faut pas oublier le Christ qui est au centre de tout". Et ne pas écarter la dignité humaine : "Il faut savoir faire place à Dieu et si l'on ne respecte pas l'Homme, on ne respecte pas Dieu".

 

L'équipe Communication de la Paroisse Sainte Croix des Confluents

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28 janvier 2019 1 28 /01 /janvier /2019 14:37

 

EN PRÉSENCE DE

Dr. Gérard BREUILLE, Chirurgien gastro-entérologue à l'hôpital d'Agen

M. Axel KLUSIEWICZ, Infirmier coordinateur des prélèvements d'organes au Kremlin-Bicêtre

Mme Véronique MASSIE, Responsable de la Pastorale de la santé dans le diocèse d'Agen

Mme Claudine VIGUIÉ, Présidente de l'ADOT 47

                                                  

                             DON D'ORGANES, DON DE VIE

 

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