La paix, œuvre de Dieu
L'équipe de Pax Christi anime une formation à Agen
Trois représentants de Pax Christi, sollicités par le président du Mouvement Mgr Herbreteau, se sont rendus le 14 février dernier dans le diocèse d’Agen pour y animer une journée de formation auprès des prêtres. L'occasion d'y présenter l'action du Mouvement, d'évoquer le nouveau projet "Lieux de paix", et d'échanger sur la spiritualité de la paix . En savoir plus
Conférence de l’Abbé Pierre Bonnet
sur la lettre apostolique du Pape François
sur la formation liturgique du Peuple de Dieu
Desiderio Desideravi
« J’ai désiré d’un grand désir »
du 29 juin 2022
En voici quelques extraits …
Ce texte nous appelle à retrouver l’émerveillement devant le mystère pascal loin de toute polémique et vision idéologique.
Le Pape nous appelle à la Contemplation et à la beauté de la célébration chrétienne. Nos liturgies sont-elles belles, priantes, nous touchent-elles au cœur, nous révèlent-elles Dieu ?
Le motu proprio Traditionis Custodes (16 juillet 2022)
Il est important de contextualiser le texte. Le Pape vient d’envoyer des directives aux Évêques le 16 juillet 2021 par la lettre apostolique motu proprio Traditionis Custodes accompagnée d’une lettre explicative.
Ce motu proprio porte sur l’usage de la liturgie romaine d’avant la réforme du Concile Vatican II. Il faut nous rappeler les tensions liées au schisme suite à l’ordination d’Évêques sans mandat pontifical par Mgr Lefebvre.
Un certain nombre de catholiques traditionnalistes ont désiré rester fidèles à l’Église Catholique et ne pas suivre Mgr Lefebvre. Des dérogations et des structures ont été créées par Jean Paul II et Benoît XVI pour faciliter la communion ecclésiale pour ces catholiques qui se sentent attachés à la liturgie antérieure au Concile Vatican II.
Trois ans après la publication de ces dérogations, une enquête a été réalisée sur l’utilisation du Missel Romain de Jean XXIII publié en 1962.
À l’issue de cette enquête, le Pape dans le motu proprio Traditionis Custodes a pris des décisions qui ont provoqué des crispations dans le monde traditionaliste.
Il affirme qu’à terme pour le rite Romain latin les livres liturgiques issus du Concile Vatican II seront la seule expression de la lex orandi (de la loi de la prière).
La Messe tridantine est appelée à terme à disparaître. L’Évêque diocésain est le seul à pouvoir autoriser l’utilisation du Missel Romain de 1962 de Jean XXIII suivant les orientations du siège apostolique.
En principe, il n’est pas possible désormais d’ériger de nouvelles paroisses personnelles. Seront pour le moment maintenues les paroisses personnelles existantes sous réserve de leur utilité effective.
Lors des célébrations, les lectures seront proclamées en langue Vernaculaire (du pays).
En principe, ne seront constitués de nouveaux groupes.
Une des raisons de la suppression du rite de Saint Pie V est que les fidèles n’assistent pas au mystère de la foi comme des étrangers ou des spectateurs silencieux mais avec une pleine compréhension des rites et des prières.
Le Pape par ses dispositions réaffirme qu’il a l’intention de rétablir l’unité dans toute l’Église de rite romain.
Dans la lettre apostolique Desiderio Desideravi le Pape décide pour bien rentrer dans le mystère eucharistique de donner quelques éléments de formation liturgique au Peuple de Dieu.
La lettre apostolique Desiderio Desideravi (29 juin 2022)
Le Pape après donc avoir expliqué le contexte de cette lettre, veut partager avec le Peuple Chrétien quelques réflexions sur la liturgie qu’il qualifie de dimension fondamentale pour la vie de l’Église.
Son but n’est pas d’être exhaustif mais de nous inciter à la Contemplation de la beauté et de la vérité de la Célébration Chrétienne.
Cette lettre n’est pas une instruction avec des normes spécifiques, elle veut apporter des pistes de réflexion pour comprendre la beauté de la Célébration liturgique et son rôle dans l’Évangélisation.
Il rappelle que la liturgie est la 1ère source dans laquelle les fidèles peuvent puiser l’authentique esprit chrétien.
Il demande que la beauté de la Célébration Chrétienne ne soit pas défigurée par une compréhension superficielle ou une instrumentalisation idéologique. Il insiste sur le danger pour la vie de l’Église de « la mondanité spirituelle ».
La Célébration n’appartient pas à l’individu mais à la totalité des fidèles unis dans le Christ. La liturgie ne dit pas « Je » mais « Nous ».
Par ailleurs, il ne faut pas confondre simplicité avec une banalité débraillée.
Mais ce qui est central c’est l’appel à l’intériorité.
L’homme moderne a perdu la capacité de s’engager dans l’action symbolique.
La 1ère tâche du travail de la formation liturgique c’est que l’homme doit retrouver sa puissance symbolique.
Pour ce faire, il doit avant tout retrouver confiance dans la Création.
Aussi l’éducation est nécessaire car la Célébration ne s’improvise pas.
Chaque fois que nous allons à la Messe c’est le Christ qui nous y appelle, c’est le Christ qui nous attend.
La foi est la rencontre avec le Christ ou elle n’existe pas, c’est la liturgie qui nous garantit de pouvoir la rencontrer.
Parmi les gestes rituels qui appartiennent à l’ensemble de l’assemblée, le silence occupe une place d’une importance absolue.
Le silence liturgique est le symbole de la présence et de l’action de l’Esprit Saint qui assume toute l’action de la Célébration.
Nous sommes devenus des incompétents symboliques.
Le Pape François insiste sur l’attention, l’humilité, notre condition de pécheurs et la gratuité du don de soi.
Dieu doit occuper la 1ère place, la formation liturgique sérieuse est vitale.
L’art de la Célébration ne s’improvise pas, il exige de la discipline et requiert la participation active de l’assemblée.
La beauté et la vérité conduisent à Dieu.
pour l’Appel décisif à l’église Saint-Étienne à Montpouillan
Gn 2, 7-9 et 3, 1-7a ; Ps 50 ; Rm 5, 12-19 ; Mt 4, 1-11
Chers amis, frères et sœurs,
Aujourd'hui dans l'Église, le temps du Carême prend de jolies couleurs, celles du catéchuménat. Vous les catéchumènes, vous êtes au cœur de la liturgie du Carême. Et c’est vraiment une chance pour notre Église traversée par des épreuves et de grandes difficultés. Vous nous apportez votre enthousiasme, votre fidélité, votre confiance. Vous êtes une trouée de lumière dans la grisaille de nos existences.
Quelle joie de vous voir debout et à genoux, au cœur de nos communautés paroissiales, vivant, par exemple juste avant Pâques les étapes des scrutins. Tout en priant que Dieu vous assiste dans cette ultime étape, nous demandons - nous les baptisés de longue date - la grâce d'être à la hauteur de votre conception de la vie chrétienne, la grâce d’être à l’écoute de vos attentes et de vos interrogations. Votre conversion au Seigneur Jésus encourage la nôtre.
Trois dimensions du carême
Oui, c’est vraiment une nouvelle manière d'aborder le Carême que de placer les projecteurs sur vous, en particulier en ce jour de l’appel décisif. Parce que le carême permet aux paroisses de mettre en valeur trois dimensions :
La dimension catéchétique tout d’abord. Beaucoup de chrétiens demandent une formation plus solide et adaptée aux conditions actuelles de la vie chrétienne. Il faut donc que le temps du Carême soit vraiment un temps d'enseignement en vous y associant, vous les catéchumènes. C’est ce que certaines personnes ont vécu en même temps que vous aujourd’hui.
La deuxième dimension, c’est la dimension catéchuménale qui correspond à la fécondité de l'Église. L'objectif de l'Église est de faire de nouveaux enfants. C’est l’Église qui vous enfante à la foi grâce à la prière communautaire, grâce à la vie sacramentelle, à la vie de charité. Votre cheminement dans la foi, jalonné de doutes, d’hésitations mais aussi de belles découvertes comme la découverte de la richesse de la Bible, comme le soutien affectueux d’une communauté, ou encore comme la beauté de la liturgie, nous conforte, nous réjouit et nous stimule tous.
Après la dimension catéchétique et la dimension catéchuménale, la troisième dimension est une dimension de conversion. Nous sommes invités à vivre personnellement, en union avec vous, chers catéchumènes, une ascèse dans certains domaines de nos vies. Refuser la médisance, réduire l’utilisation du téléphone portable, combattre les addictions diverses et variées, etc., est une véritable ascèse. Lorsque vous vivrez les scrutins, vous découvrirez que la tentation est grande de vous éloigner de Dieu et que la vie chrétienne est un combat de chaque jour.
Le Carême est « un voyage de retour vers Dieu » (Pape François). Ce n'est pas une collecte de bonnes actions, mais une période privilégiée pour discerner vers où est orienté notre cœur. Or nous le savons bien notre cœur est souvent un cœur fermé, rouillé, refroidi, anesthésié.
Mais vous découvrirez aussi que ce ne sont ni notre propre mérite ni nos exercices pénitentiels qui nous sauvent en premier lieu, mais la pure et gratuite miséricorde du Père.
Dieu a une vocation pour chacun d’entre vous.
Dieu Père miséricordieux vous appelle, chers catéchumènes, par votre nom, comme Abraham, comme Moïse devant le buisson ardent, comme le jeune Samuel. Reste à entendre ce que Dieu suggère, car Il intervient souvent dans les moments obscurs de notre vie.
Aussi mieux vaut ne pas nous installer trop profondément dans le confort d’une vie douillette, ou ne pas nous laisser distraire par le vacarme incessant de la société de consommation. Sinon nous allons rater le passage de Dieu dans notre vie. Comme Samuel, il nous faut dire : « Parle, Seigneur, ton serviteur écoute. » Comme tous les personnages importants de la Bible nous répondons à Dieu « Me voici ».
C’est en effet dans le secret de l’âme que Dieu révèle à chacun sa mission, car « celui qui est appelé l’est pour être envoyé » dit le pape François.
Dieu a un projet pour chacun de vous catéchumènes. Il vous confie une mission qu’il ne confie à personne d’autre. Répondre à votre vocation est donc une marche vers la réalisation heureuse de vous-même. Le plus sûr moyen de connaître votre vocation, c’est de se tenir prêt pour tout ce que Dieu voudra.
À quoi le Créateur, qui donne la vie, vous a-t-il appelés ? Entendre un appel de Dieu ce n'est pas seulement avoir des pensées personnelles et des rêves sur ce que nous devrions faire, mais c'est une tâche spéciale que le Seigneur Dieu nous donne de remplir dans notre vie pour le bien de mon prochain, pour la gloire de Dieu. Ayant répondu à cette vocation, nous pourrons vraiment atteindre le bonheur en plénitude.
Les trois tentations de Jésus
En ce sens, il n’est pas inutile en ce début de Carême de méditer longuement sur les trois tentations qui empêchent de répondre aux appels de Dieu et à la mission que Dieu nous confie.
Il y a la tentation de douter de la présence de Dieu quand surviennent les difficultés. Le désert, lieu de la faim et de la soif, représente toutes les épreuves que nous pouvions connaître (maladie, deuil, problèmes relationnels...). Jésus répond au Tentateur : « L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. ». Plus tard, il dira à ses disciples, pour montrer qu’il ne doute pas de la présence de Dieu à ses côtés : « Ma nourriture, c’est de faire la volonté de Celui qui m’a envoyé » (Jn 4, 34).
La seconde tentation se passe au Temple, lieu de la prière. La tentation est de vouloir obtenir de Dieu l’accomplissement de nos besoins immédiats, alors que la prière est affaire d’abandon et de confiance en Dieu. Jésus déjoue les pièges du Tentateur parce qu’il sait que Dieu connaît nos besoins et qu’il y pourvoie.
Enfin la troisième tentation sur la montagne, lieu élevé, est celle de la toute-puissance. Là encore Jésus répond au Tentateur : « C’est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, à lui seul tu rendras un culte. »
Les trois tentations de Jésus rejoignent le quotidien de nos vies : nous arrive-t-il de douter de la présence de Dieu et de l’efficacité de sa Parole ? Nous arrive-t-il d’utiliser la prière pour avoir la mainmise sur Dieu ? Nous arrive-t-il de rechercher la toute-puissance en nous passant de Dieu ?
Que ce Carême, chers catéchumènes, nous donne d’approfondir ces trois tentations !
Amen !
Mgr Hubert HERBRETEAU
Église Saint-Étienne à Montpouillan, le dimanche 26 février 2023
pour l’entrée en Carême avec le CCFD
à l’église Sainte-Marie à Miramont de Guyenne
Gn 2, 7-9 et 3, 1-7a ; Ps 50 ; Rm 5, 12-19 ; Mt 4, 1-11
Chers amis, frères et sœurs,
Depuis longtemps, nous avons donné au Carême une dimension pénitentielle. Pendant quarante jours, par nos actes de pénitences et de charité, nous nous préparons à célébrer la Passion, la mort et la Résurrection de Jésus.
Le pape François présente le Carême d’une autre manière. Le Carême, dit-il est « un voyage de retour vers Dieu ». Ce n'est pas une « collecte de bonnes actions, mais une période privilégiée pour discerner vers où est orienté notre cœur. Or nous le savons bien notre cœur est un cœur parfois fermé, rouillé, refroidi, anesthésié.
Je vous propose ce soir trois pistes de réflexion, en écho à la Parole de Dieu que nous venons d’entendre :
Le Carême est un moment favorable de conversion ; le Carême nous rappelle douloureusement le problème de la faim dans le monde ; enfin le Carême nous conduit à la question de la nourriture de la vie spirituelle.
Le Carême, moment favorable de conversion
Ces quarante-six jours sont un moment favorable pour chercher à savoir où mène la navigation de notre vie.
Vers Dieu ou vers nous ? Il faut donc revenir sur notre parcours de vie pour comprendre ce que nous cherchons. Pourquoi je marche dans cette direction ? Qu'est-ce que je cherche ? Nos choix et nos décisions de chaque jour révèlent notre rapport à Dieu, à nous-même et au monde. Nos orientations s'enracinent dans les profondeurs de notre être. C'est là que Dieu attend le croyant.
Encore faut-il rejoindre Dieu, rentrer en soi-même comme le fils prodigue. C'est en nous plongeant dans le livre de notre vie, en écoutant notre désir profond, en scrutant les mouvements intérieurs, que nous retrouverons les chemins de la vie.
Un premier conseil pour bien vivre le carême est de prier avec simplicité. La prière permet de s'adresser à Dieu avec familiarité, comme on parle à un ami. La prière fait entrer dans l'intimité avec le Seigneur, avec une spontanéité affectueuse. Notre prière peut être simple comme un sourire ou un bonjour. Le pape François affirme : « Quand je rencontre le Seigneur dans la prière, je deviens joyeux (...). La tristesse ou la peur, en revanche, sont des signes d'éloignement de Lui, Dieu. »
Le Carême est un moment favorable de conversion pour remettre le Christ au centre de notre vie, à travers le jeûne, la prière et les œuvres de charité. Des lectures spirituelles peuvent nous y aider. Mais aussi une participation à des célébrations communautaires de la réconciliation, à des eucharisties ferventes et vivantes.
Le problème de la faim dans le monde
Le récit des tentations de Jésus dans l’évangile de Matthieu nous conduit à regarder une seconde dimension du Carême.«Alors Jésus fut conduit au désert par l’Esprit pour être tenté par le diable.Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits,il eut faim»
La faim de Jésus nous rappelle le problème de la faim dans le monde. Le CCFD Terre solidaire est évidemment très attentif à ce problème. Et le temps de guerre que nous traversons, en Ukraine, en Afrique ou ailleurs, nous montre que toute guerre entraîne le manque d’eau et de nourriture et bien d’autres misères.
Récemment, le directeur du Programme alimentaire mondial, David Beasley, lançait un cri d’alarme : « Nous sommes face à la pire crise alimentaire et humanitaire depuis la Seconde Guerre mondiale ». La menace de famine concernerait aujourd’hui des centaines de millions de personnes. Yémen, Afghanistan, Éthiopie, Soudan et Somalie sont plongés dans la famine. Parmi les fléaux que connaît l'humanité dans son histoire, aucun n'est plus récurrent et croissant que la famine.
Plus d'un milliard de personnes aujourd'hui souffrent de la faim, plus de cinq millions d'enfant meurent de faim chaque année. Et même en France, selon le Comité national de lutte contre la précarité, sept millions de personnes ne mangent toujours pas à leur faim.La faim rappelle que l'humanité est responsable de ses propres besoins. Elle dit à la fois notre condition de vivant mortel et notre responsabilité envers les besoins de chacun. Elle est aussi ce qui atteint notre dignité élémentaire et peut défaire la sociabilité et la vie commune.
Se nourrir décemment est la condition d'une vie digne et sociale, et que l'on ne saurait célébrer la Création sans répondre à la faim d'autrui comme l'affirme le récit de la Genèse que nous avons entendu : « Le Seigneur Dieu planta un jardin en Éden, à l’orient, et y plaça l’homme qu’il avait modelé. Le Seigneur fit pousser du sol toutes sortes d’arbres à l’aspect désirable et aux fruits savoureux.
Dieu nourrit les humains. Le fait de nourrir ceux qui ont faim partout dans le monde constitue un devoir incontournable, sinon la première des exigences.
De quoi avons-nous faim et soif aujourd’hui ?
Le Carême présente donc une dimension de conversion et en même temps une dimension de solidarité, condition pour une véritable fraternité.
Il faut ajouter une autre question essentielle : de quoi avons-nous faim et soif aujourd’hui ?
L'humanité ne vit pas que de pain, nous rappelle la Bible. Jésus, dans l’évangile, cite à ce sujet le Deutéronome.
Cela signifie que nous devons apporter une réponse sans condition aux besoins physiques de chacun mais que nous devons comprendre aussi que cela est un besoin spirituel. Ne pas y répondre c'est manquer à notre premier devoir humain et spirituel.
La question de la faim renvoie donc à notre propre vie spirituelle. Nous qui avons tout à notre disposition et qui nous plaignons de la baisse de notre pouvoir d’achat, nous sommes invités à vivre une ascèse dans certains domaines de nos vies en renonçant à la médisance, en utilisant nos téléphones portables avec mesure. Nous avons aussi à combattre les addictions diverses et variées, etc. Mais ce ne sont ni notre propre mérite ni nos exercices pénitentiels qui nous sauvent en premier lieu mais la pure et gratuite miséricorde du Père.
Chers amis, que ce temps de carême soit un temps de conversion, de sensibilisation au problème de la faim dans le monde, et un approfondissement de notre vie spirituelle !
Amen !
Mgr Hubert HERBRETEAU
Église Sainte-Marie à Miramont de Guyenne, le samedi 25 février
Qu’est-ce que les J.M.J. ?
Les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) ont été instituées par le Pape Jean-Paul II en 1985.
Cet évènement permet à chaque jeune d’aller rencontrer d’autres jeunes du monde entier. Célébrées localement chaque année le dimanche des Rameaux les JMJ prennent tous les deux ou trois ans une dimension internationale en se déroulant dans une grande métropole.
Thème des JMJ de Lisbonne
« Marie se leva et partit en hâte » Luc 1,39
Cette citation biblique de l’évangile de saint Luc et choisie par le Pape François comme devise des Journées Mondiales de la Jeunesse, ouvre le récit de la Visitation (la visite de Marie à sa cousine Élisabeth), un épisode biblique suivant l’Annonciation. L’annonce de l’ange à Marie qu’elle serait la mère du Fils de Dieu était le thème de la dernière JMJ, à Panama en 2019
Temps forts de préparation des JMJ
Dimanche 06 mars : 3ème journée diocésaine de préparation à Villeneuve-sur-Lot de 10h à 17h
Samedi 01 avril : Marche des Rameaux à Miramont de Guyenne de 10h à 23h
Dimanche 11 juin : 4ème journée diocésaine de préparation à Marmande de10h à 17h
Dimanche 09 juillet : 5ème journée diocésaine de préparation au Passage d’Agen de 10h à 17h
Déroulé des JMJ au Portugal – 25 juillet- 06 août 2023
25 – 31 juillet : Les journées diocésaines – un échange de foi et d’expérience ecclésiale
1er – 06 août : les JMJ à Lisbonne – les JMJ avec le pape.
Conférences de Carême de Mgr Herbreteau
à la chapelle du Martrou à 16 h 30
Premier dimanche 5 mars 2023 :
les paraboles de Jésus dans le repos de Dieu.
Deuxième dimanche 12 mars 2023 :
la paix, œuvre de Dieu.
PENSEZ À VOUS INSCRIRE
AVANT LE 15 MARS !
PROGRAMME :
Télécharger JEUNES - Fiche d'inscription jeunes Marche des Rameaux
FICHE D'INSCRIPTION POUR LES ANIMATEURS :
Télécharger ANIMATEURS - Fiche d'inscription animateurs pour la Marche des Rameaux
Bonjour,
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et activités de la paroisse
Bonne lecture!
PRESBYTÈRE
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